Je travaille aujourd’hui, pour la première fois depuis longtemps. Un endroit que je ne connais pas, un domaine que je ne connais pas. Et surtout en intérims. Ce n’est que deux jours et pourtant des angoisses tels que j’ai dû prendre des médicaments.
Est-ce en raison du covid.. ? J’ai toujours été casanière et j’ai toujours eu des soucis pour sociabiliser. Cette obligation d’avoir un masque sur le coter professionnel me porte vraiment préjudice. Je n’ai pas envie. De porter un masque, d’être obligatoirement souriante. Et pourtant, je le fais. Je souris, je cache et je masque.
C’est si handicapant de ne pas être sois a 100%. Et je ne le suis jamais à l’exterieur, hors de ma bulle.
]]>Joyeux anniversaire à moi même.
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L’écrit m’a été plus ou moins bénéfique ses temps ci. Je me suis permise d’écrire des lettres aux gens qui m’ont fait du mal ou a qui j’ai fais du mal de manière direct ou indirect. De ce qui en retournait ? Pas grand chose au final… c’était plus une mise en lumière de moi et moi même afin d’être plus clair.
Être plus clair… Plus clair…
C’est étrange comme dans mon interieur ça ne me semble pas être une bonne idée d’être clair et de me livrer. Je l’ai fais car j’ai ressentis un besoin d’être plus limpide avec mon entourage. Et pourtant , toujours cette sensation d’ouvrir la porte à ceux qui ne le mérite pas.
Hors mis cela, enfin il semblerait que je sois officiellement chez moi. J’ai eu cette sensation quand c’est moi qui es dût diriger un technicien internet à travers l’appartement. Mon chez moi. C’est vivifiant !
Et aussi , laisser quelqu’un entrer chez moi fût étrangement fatiguant. J’ai déjà dit que je n’aimais pas les gens ? ahah.
Demain c’est mon anniversaire. Je n’aime pas mon anniversaire. Je trouve cela inutile. Blessant.
La plupart du temps en réalité , eh bien , les gens ne pensent pas à mon anniversaire.. et je suis le genre de personne à ne pas le faire rappeler car, si quelqu’un tiens à nous.. il s’en rappellera , non ?
• 9h45 , ma moitié s’éveille enfin pour ce passé un coup d’eau sur le visage dans cette salle de bain. Trop grande et trop petite a la fois. Le changement ne me va guère à croire.
• 10h30 , le père et l’oncle de ma moitié arrive afin d’y disposer dans ce nouvel espace le nécessaire en machine ménager tel un frigo plus grand et un lave linge. Lave linge qui ne tiendra pas sur sa faible planche de bois encastré dans la cuisine équipé. Tout tremble. Même moi.
• 14h Une amie ce rajoute à tous ce bruits visuel. Un sourire amicale mais pas suffisant. Je ne peux pas véritablement écouter ce qu’elle me dit. Je ne peux pas véritablement sourire en lui servant son café.
• 14h45 Ma moitié part au travail. Un bisous très léger… une certaine distance à dire "au revoir" à notre amie commune . Des remerciements pour l’aide apporter par cet oncle et ce père.
• 15h30 Départ de l’oncle et du père. Souriant. Fuyant. Presser de rentrer dans leurs villages à 1h30 de l’appartement.
• 18h45 Enfin seule. On a discuter avec mon amie. Tous me ramène au fait que je suis terriblement seule. Mon amie m’a demandée si ma moitié était énervé a son arriver, vu avec quel rapidité il a fuit. Mais je ne sais pas. Et je ne saurais pas.
19h et plus.
Je ressent ce besoin d’écrire simplement. Comme pour ne pas faire oublier à la fasse du monde que j’existe et que ma vie en proie au doute n’est pas si simple ou pas si catastrophique que cela. Au choix.
Tous es si nouveau.. Cet appartement. Cette année passé en compagnie de ma moitié. Je doute et en même temps je ne ressent rien. Mon coeur s’anesthésie tous seuls , et je trouve des excuses : Le changement est trop soudain , il nous faut du temps.