13 Août 1889 : Brevet pour les cabinets téléphoniques déposés.
Réveil à 9h. Petit café avec la nouvelle machine à café.. machine qui n’est pas la mienne d’ailleurs; celle des beaux parents.
Marche légère dans ce petit espace de 30 mètres carrées comme pour sondé ce nouvel endroit qui es censée être le mien.
• 9h45 , ma moitié s’éveille enfin pour ce passé un coup d’eau sur le visage dans cette salle de bain. Trop grande et trop petite a la fois. Le changement ne me va guère à croire.
• 10h30 , le père et l’oncle de ma moitié arrive afin d’y disposer dans ce nouvel espace le nécessaire en machine ménager tel un frigo plus grand et un lave linge. Lave linge qui ne tiendra pas sur sa faible planche de bois encastré dans la cuisine équipé. Tout tremble. Même moi.
• 14h Une amie ce rajoute à tous ce bruits visuel. Un sourire amicale mais pas suffisant. Je ne peux pas véritablement écouter ce qu’elle me dit. Je ne peux pas véritablement sourire en lui servant son café.
• 14h45 Ma moitié part au travail. Un bisous très léger… une certaine distance à dire "au revoir" à notre amie commune . Des remerciements pour l’aide apporter par cet oncle et ce père.
• 15h30 Départ de l’oncle et du père. Souriant. Fuyant. Presser de rentrer dans leurs villages à 1h30 de l’appartement.
• 18h45 Enfin seule. On a discuter avec mon amie. Tous me ramène au fait que je suis terriblement seule. Mon amie m’a demandée si ma moitié était énervé a son arriver, vu avec quel rapidité il a fuit. Mais je ne sais pas. Et je ne saurais pas.
19h et plus.
Je ressent ce besoin d’écrire simplement. Comme pour ne pas faire oublier à la fasse du monde que j’existe et que ma vie en proie au doute n’est pas si simple ou pas si catastrophique que cela. Au choix.
Tous es si nouveau.. Cet appartement. Cette année passé en compagnie de ma moitié. Je doute et en même temps je ne ressent rien. Mon coeur s’anesthésie tous seuls , et je trouve des excuses : Le changement est trop soudain , il nous faut du temps.